Ἐγὼ δὲ τεθεωρηκὼς τὴν φύσιν τοῦ ἀγαθοῦ ὅτι καλὸν καί τοῦ κακοῦ ὅτι αἰσχρὸν καί τὴν αὐτοῦ τοῦ ἁμαρτάνοντος φύσιν ὅτι μοι συγγενής, οὑχὶ αἵματος ἢ σπέρματος τοῦ αὐτοῦ, ἀλλὰ νοῦ καί θείας ἀπομοίρας μέτοχος, οὔτε βλαβῆναι ὑπό τινος αὐτῶν δύναμαι· αἰσχρῷ γάρ με οὐδεὶς περιβαλεῖ· οὔτε ὀργίζεσθαι τῷ συγγενεῖ δύναμαι οὔτε ἀπέχθεσθαι αὐτῷ. Γεγόναμεν γὰρ πρὸς συνεργίαν, ὡς πόδες, ὡς χεῖρες, ὡς βλέφαρα, ὡς οἱ στοῖχοι τῶν ἄνω καί κάτω ὀδόντων. Τὸ οὖν ἀντιπράσσειν ἀλλήλοις παρὰ φύσιν· ἀντιπρακτικὸν δὲ τὸ ἀγανακτεῖν καὶ ἀποστρέφεσθαι.
Mais moi, parce que j'ai considéré attentivement la nature du bien, qui est le beau, et celle du mal, qui est le laid, et la nature de celui qui a commis une faute, qui est mon parent, par la communauté non pas du sang ou de la naissance, mais de l'intelligence et de la participation à la divinité, je ne peux être atteint par aucun d'entre eux. Aucun, en effet, ne peut jeter de la laideur contre moi, et je ne peux m'irriter contre un parent ni m'en détourner. Nous sommes en effet nés pour oeuvrer ensemble, comme les pieds, comme les mains, comme les paupières, comme les dents supérieures et inférieures. L'hostilité réciproque est donc contre la nature, et sont de l'hostilité indignation et aversion.
Le chat sur la photo songeait en grec ancien.
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